Experts en : Méthodologie recherche-création
DESROCHERS, Jean-Simon
Professeur agrégé
- Création littéraire
- Théories de la création littéraire
- Approche bioculturelle de la création littéraire
- Méthodologie recherche-création
- Mikhaïl Bakhtine
- Poésie québécoise (20e siècle)
- Poésie québécoise (21e siècle)
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
Tant dans la création (roman, poésie, nouvelle, essai, scénario) que dans une perspective théorique, mes recherches portent sur le développement continu d’une approche dialogique des théories de la création littéraire liant les théories situées de l'acte de création, les philosophies de l’acte, l'éthique de la praxis et les approches sympoïétiques. S’incarnant dans une philosophie de la praxis devant s'inscrire dans un devenir ensemble trouble, mes recherches accueillent et examinent la multiplicité des discours sur l’acte de création tout en détaillant les enjeux méthodologiques propres aux pratiques d'écritures.
HUGLO, Marie-Pascale
Directrice de département, Professeure titulaire
- Création littéraire
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature française (20e siècle)
- Littérature québécoise (20e siècle)
- 21e siècle
- Littérature française (21e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Intermédialité
- Méthodologie recherche-création
Approche intermédiale du récit : relations entre narrativité et esthétique dans les littératures française et québecoise contemporaines.
Champs d'expertise
- Formes narratives
- Intermédialité
- Littérature française
- Littérature québécoise
- Création littéraire
MAVRIKAKIS, Catherine
Professeure titulaire
- Création littéraire
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature française (20e siècle)
- Littérature québécoise (20e siècle)
- 21e siècle
- Littérature française (21e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Représentations de la maladie dans la littérature
- Méthodologie recherche-création
Catherine Mavrikakis est professeure au Département d’études françaises depuis juin 2003. Auparavant, elle a occupé un poste de professeure à l’Université Concordia de 1993 à 2003. Après une formation en littérature comparée où elle a obtenu un doctorat en 1989 qui portait sur la langue, la folie et la fondation de la littérature nationale (Mallarmé, Nodier, Freud et Schreber, Khlebnikov, Hölderlin, Heidegger et les Romantiques allemands), elle a travaillé sur les questions de filiation, de deuil, de maladie dans l’écriture moderne (Hervé Guibert, Antonin Artaud, Maurice Blanchot, Hubert Aquin, Thomas Bernhard, Marguerite Duras). Ses recherches tentent de penser le discours littéraire et social sur la santé actuelle (Foucault), les idées de contamination, contagion et influence dans les écrits du sida et l’imaginaire de l’aveu, de la souffrance à nommer dans le récit contemporain. Actuellement, elle travaille sur l'inachèvement et le " non-finito" dans la modernité. Elle s’intéresse au processus créateur dans la théorie psychanalytique et dans le discours tenu par les écrivains.
MELLET, Margot
Doctorante
- Méthodologie recherche-création
- Culture numérique
- Création littéraire
- Édition numérique
- Histoire culturelle
- Histoire de la littérature
- Histoire du livre
- Intermédialité
- Littérature et arts
- Littérature et médias
- Sciences humaines numériques
- Théories de la création littéraire
- Europe
- Époque moderne
Titre de la thèse : ...et les doigts d’écrire se referment sur la paume : Recherche-Création sur l’épaisseur de l’écriture
Directeur : Marcello Vitali-Rosati
Noué autour de la question de la matérialité de l’inscription, le travail de recherche-création vise à comprendre comment les réalités matérielles s’agencent et font émerger les réalités culturelles de la littérature, soit comment le fait littéraire est une composition de rapports déterminée par les caractéristiques du support, qu’on le nomme média, machine ou plus largement environnement d’écriture. Qu’il s’agisse de la nouvelle architecture de l’information qu’implémente le Codex, de la plume que Flaubert taillait comme processus rituel de création, de la « délicate » machine à écrire d’un Nietzsche condamné à l’aveuglement, ou de l’ambiguïté des termes computers et typewriter qui peuvent autant désigner les femmes qui utilisaient des machines spécifiques que les machines en elles-mêmes, ces échos d’une culture littéraire sont autant de témoignages de l’importance des incidences matérielles dans l’écriture et dans le geste d’inscription en tant que tel. Où s’arrête la détermination de l’écriture ? Où se pose la frontière entre elle et le reste du monde ? Le projet de thèse vise à développer une méthodologie d’écriture propre qui ne distingue plus recherche et création pour redéfinir des contours du fait littéraire.