Experts en : Littérature québécoise
BASTIEN, Catherine
Doctorante
- Création littéraire
- Écriture des femmes
- Littérature québécoise
- Littératures francophones
- Théories de la création littéraire
Titre de la thèse : Nous partirons ensemble, suivi de Mauvaises mères et autres marâtres : care et anti-care maternel dans la littérature francophone contemporaine
Directrices : Catherine Mavrikakis et Andrea Oberhuber
CAMBRON, Micheline
Professeure émérite
- Littérature québécoise
- 19e siècle
- Littérature québécoise (19e siècle)
- 20e siècle
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Histoire culturelle
- Littérature et médias
- Enseignement de la littérature
- Canada (Québec)
- Archive littéraire
- Récits historiques
Spécialiste de la littérature québécoise des XIXe et XXe siècles, ses enseignements ont porté sur la littérature québécoise (Anne Hébert, Littérature québécoise du XIXe siècle) et les questions d’épistémologie littéraire (Anthropologie et littérature, Théories et méthodes critiques, Littérature, culture et médias, Questions d’histoire littéraires). Elle a dirigé les séminairesDu populaire et du vernaculaire dans la littérature québécoise (1840-1970), Presse et vie culturelle au Québec, Questions d’histoire littéraire québécoise, L’utopie au Québec et le Séminaire de méthodologie, sans négliger pour autant l’initiation à la lecture littéraire (Études de textes). Parallèlement, de 1999 à 2002, elle a assuré la mise en place des activités liées à l’enseignement de la littérature au collégial au Département des littératures de langue française (séminaires Former des lecteurs et Relire et enseigner et stages dans les cégeps). Elle a dirigé plus de 30 mémoires et 12 thèses ont été soutenues sous sa direction ou sa codirection, dont 4 ont été publiées et 3 sont sous presse.
Adossée aux travaux de Paul Ricœur et de Fernand Dumont, Micheline Cambron aborde les œuvres dans la perspective du récit considéré comme outil heuristique. Ses activités de recherche ont principalement porté sur les formes de l’utopie, les relations entre presse et littérature et les questions d’histoire littéraire et culturelle (archives, récits, lecture et non-lecture) et l'épistémologie des sciences humaines. Depuis 2006, elle codirige, avec Denis Saint-Jacques et Lucie Robert, l'équipe interdisciplinaire, Penser l’histoire de la vie culturelle.
DROUIN, Emilie
Doctorante
- 20e siècle
- 1945-1989
- 21e siècle
- Analyse du discours
- Analyse du discours littéraire
- Analyse stylistique
- Canada
- Époque contemporaine
- Littérature québécoise
- Période contemporaine (arts et lettres)
- Pragmatique du discours
- Canada (Québec)
- Roman
Titre de la thèse : Les enfants de langage. L’énonciation individuelle comme moteur d’altérité de soi dans le roman québécois
Directrice : Martine-Emmanuelle Lapointe
Dans une perspective d’écart entre les enfants et le monde des adultes, je souhaite observer, dans un corpus de romans québécois réunissant enfance et énonciation singulière, le lien entre l’identité et la pratique langagière afin de montrer en quoi le langage est un moteur de l’identité autre de ces narrateurs et personnages. Pour ce faire, je m’intéresse d’une part à la notion d’altérité, et plus particulièrement celle réfléchie par Paul Ricoeur dans Soi-même comme un autre. S’inscrivant dans le prolongement de sa théorie sur l’identité narrative, cet ouvrage s’attache à la question du soi et à son positionnement entre les pôles de la mêmeté (idem) et de l’ipséité (ipse), cette dernière correspondant à un soi intimement aligné sur la notion d’altérité – bref, « soi-même en tant que … autre » (Ricoeur, 1990). D’autre part, mon attachement à la question de l’usage de la langue et donc de l’inscription du locuteur dans la langue, m’emmène de façon large du côté des idées développées par la linguistique de l’énonciation, plus particulièrement vers les travaux sur l’idiolecte et sur la notion – plus souple – d’énonciation idiolectale en tant que processus d’ipséification – c’est-à-dire que je m’intéresse à des personnages d’enfants qui sont davantage comment ils disent que ce qu’ils disent. Mis ensemble, ces deux volets me permettront de réfléchir à ces personnages et voix narratives d’enfants qui, d’une part, sont résolument autres, et qui, d’autre part, se déploient par le biais d’une énonciation spectaculairement mise en scène et dont on peut dire qu’elle est constitutive de l’identité de l’énonciateur.
DUMAS, Yves
Doctorant
- 1900-1945
- Archive littéraire
- Dramaturgie
- Esthétique du théâtre
- Histoire du théâtre
- Intermédialité
- Littérature et arts
- Littérature et médias
- Littérature québécoise
- Analyse du discours
- Canada (Québec)
- Technologies sonores au théâtre
- Théâtre et technologies
Titre de la thèse : Julien Daoust et l'émergence de la modernité théâtrale au Québec
Directeur : Jean-Marc Larrue
DUPUIS, Gilles
Professeur associé, Professeur honoraire
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature française (20e siècle)
- 21e siècle
- Littérature française (21e siècle)
- Essai
- Littérature et psychanalyse
Gilles Dupuis est professeur agrégé au Département des littératures de langue française, depuis 2001 et fut directeur du CRILCQ - Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises -, un centre de recherche qui mène des projets sur la diversité, la différence et la migration. Il a travaillé en étroite collaboration avec des étudiants diplômés, notamment pour la production d'une bibliographie critique sur la diversité et l'écriture des migrants au Québec. Sur les six thèses de doctorat supervisées jusqu'à maintenant, deux portaient sur le thème de la diversité en Europe et au Québec (il a également supervisé cinq thèses sur ce sujet). Son implication en tant que membre régulier du CRILCQ lui permettra d'occuper un poste clé pour former des étudiants diplômés au Canada et en Europe.
Gilles Dupuis entretient d'étroites relations de collaboration avec le professeur Klaus-Dieter Ertler à l'Université Graz en Autriche et le professeur Alessandra Ferraro à l'Università di Udine en Italie. Ertler et Ferraro dirigent tous deux des centres d'études canadiennes et sont des spécialistes de la littérature migrante. Dupuis, Ertler et Ferraro ont signé un accord tripartite entre leurs centres de recherche respectifs et les universités afin de favoriser les échanges de professeurs et d'étudiants et d'organiser une conférence semestrielle conjointe sur la littérature québécoise.
FLIPOT MEUNIER, Gabrielle
Doctorante
Titre provisoire de la thèse : Postures du devenir-femme : la figure de la jeune fille dans la littérature contemporaine des femmes (1975 à aujourd'hui)
Directrices : Andrea Oberhuber (UdeM) et Anne Tomiche (Sorbonne Université)
Mon projet s’intéresse aux figures d’adolescentes dans les récits écrits par des femmes de 1975 à aujourd’hui. Il s’agit d’interroger la mise en récit de la construction d’une identité féminine et de réfléchir aux postures adoptées par ces personnages de jeunes filles dans leur passage d’un âge à un autre alors qu’elles négocient avec un nouvel ensemble de normes et de modèles, tentant tantôt de s’y conformer, tantôt de s’y soustraire ou d’y résister. Dans ces récits d’apprentissage (ou de refus d’un apprentissage) au féminin, je m’intéresse particulièrement aux modalités d’écriture du corps en transformation (et sous surveillance) et de l’initiation à la sexualité, ainsi qu’à la question de l’amitié féminine, qui occupe une place centrale dans plusieurs œuvres du corpus à l’étude. Je me penche également sur les manifestations scripturaires de la honte et la colère, affects emblématiques de l’adolescence mais faisant également l’objet de nombreuses réflexions féministes contemporaines, en voyant comment l’adolescente pensée comme figure de l’inachèvement peut se montrer subversive lorsqu’elle s’écarte de la trajectoire prévue pour elle.
GAUTHIER, Sarah
Doctorante
- Création littéraire
- Écriture des femmes
- Époque contemporaine
- Littérature québécoise
- Poésie
- Canada (Québec)
Titre de la thèse : L'esthétique du glitch dans la poésie québécoise contemporaine écrite par des fxmmes, 2014 à 2024 (recherche-création)
Directrice : Catherine Mavrikakis
HUCHON, Cassandre
Chargé de cours, Doctorant
- 1945-1989
- 21e siècle
- Analyse du discours littéraire
- Critique génétique
- Écriture des femmes
- Édition numérique
- France
- Histoire de la littérature
- Littérature québécoise
- Littératures francophones
- Poétique
- Canada (Québec)
- Roman
- Théâtre (20e siècle)
Titre de la thèse : Les Mots pour la redire : relecture critique et génétique de l'oeuvre de Marie Cardinal
Directrices : Stéphanie Bernier (UdeM) et Catherine Mariette (Université Grenoble Alpes)
Ma thèse Les Mots pour la redire : relecture critique et génétique de l'oeuvre de Marie Cardinal interroge la poétique cardinalienne à partir de documents inédits d'archive conservés aux Archives nationales du Québec (AnQ) à Montréal. Je propose ainsi une relecture de l'ensemble de son oeuvre à l'aide d'outils critique récents tels que la question du genre (gender) ou la génétique littéraire, que j'articule dans mon analyse afin d'interroger l'émergence d'un sujet "féminin" écrivant dans la création.
HUGLO, Marie-Pascale
Directrice de département, Professeure titulaire
- Création littéraire
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature française (20e siècle)
- Littérature québécoise (20e siècle)
- 21e siècle
- Littérature française (21e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Intermédialité
- Méthodologie recherche-création
Approche intermédiale du récit : relations entre narrativité et esthétique dans les littératures française et québecoise contemporaines.
Champs d'expertise
- Formes narratives
- Intermédialité
- Littérature française
- Littérature québécoise
- Création littéraire
LAPOINTE, Martine-Emmanuelle
Professeure titulaire
- Littérature québécoise
- Filiations intellectuelles
- Esthétique de la réception
- Histoire de la littérature
- Époque contemporaine
- Canada (Québec)
- Roman
- Essai
- Analyse du discours littéraire
- Récits historiques
Champs d'expertise
- Littérature québécoise
- Filiations intellectuelles
- Réception critique
- Histoire de la littérature
LEGERON, Karine
Doctorante
- 1945-1989
- 21e siècle
- Création littéraire
- Époque contemporaine
- Essai
- France
- Littérature québécoise
- Théories de la création littéraire
- Période contemporaine (arts et lettres)
- Récits historiques
Titre de la thèse : Leurs maisons, suivi de En-quête de terrain : écrire à partir de la mémoire des lieux
Direction de recherche : Marie-Pascale Huglo (UdeM) et Dominique Viart (Université Paris-Nanterre - Paris X)
Ma thèse en recherche-création porte sur les liens entre littérature, mémoire et lieux, et vise à identifier certaines façons dont la littérature et l’écriture se nourrissent des traces mémorielles que les lieux recèlent ou véhiculent. Dans le cadre de mes recherches, j’entends par trace mémorielle toute trace du passé enregistrée, volontairement ou non, et susceptible de contribuer à la reconstitution d’un pan d’une histoire individuelle ou collective. Les souvenirs (personnels ou ceux des autres), les documents (archives, photographies), les objets, certaines marques géographiques (toponymie, géologie) ou corporelles (cicatrices) constituent donc quelques exemples de traces mémorielles.
Mon projet de recherche se situe dans le prolongement d’études récentes qui tissent des liens entre deux tendances fortes de la littérature actuelle, l’une qui la conduit à interroger la mémoire dans une tentative de mieux comprendre le passé, et l’autre qui l’incite à accorder une plus grande importance à la question spatiale. Dans une volonté d’approfondir ces réflexions, j’explorerai l’idée d’une mémoire des lieux à l’œuvre dans l’écriture et dans les textes, mémoire envisagée comme l’ensemble constitué par les souvenirs détenus à propos des lieux et par les traces mémorielles inscrites dans les lieux ou portées par eux, et que l’écriture ravive. L’hypothèse principale qui sous-tend ma recherche est que les lieux constituent un carrefour des mémoires, c’est-à-dire un point de rencontre au sein duquel plusieurs mémoires ou traces mémorielles entrent en interaction et s’enchevêtrent. Ainsi, les lieux sont porteurs d’une mémoire plurielle qui interagit avec la mémoire préalable de l’auteur pour nourrir l’écriture. L’objectif de ma thèse est d’étudier comment cette mémoire composite se construit et comment elle s’écrit.
MATTHEY-JONAIS, Eugénie
Doctorante
- 1945-1989
- 21e siècle
- Amérique du Nord
- Analyse du discours littéraire
- Canada
- Culture numérique
- Édition numérique
- Époque contemporaine
- Esthétique de la réception
- Europe
- France
- Littérature et philosophie
- Littérature et savoirs
- Littérature québécoise
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Période contemporaine (arts et lettres)
- Canada (Québec)
- Roman
- Sciences humaines numériques
- Théorie du roman
Titre de la thèse : Responsabilités contemporaines de la lecture : enjeux éthiques et esthétiques de l’effacement de la voix narrative
Direction de recherche : Catherine Mavrikakis (UdeM) et Dominique Rabaté (Université Paris Cité)
MAVRIKAKIS, Catherine
Professeure titulaire
- Création littéraire
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature française (20e siècle)
- Littérature québécoise (20e siècle)
- 21e siècle
- Littérature française (21e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Représentations de la maladie dans la littérature
- Méthodologie recherche-création
Catherine Mavrikakis est professeure au Département d’études françaises depuis juin 2003. Auparavant, elle a occupé un poste de professeure à l’Université Concordia de 1993 à 2003. Après une formation en littérature comparée où elle a obtenu un doctorat en 1989 qui portait sur la langue, la folie et la fondation de la littérature nationale (Mallarmé, Nodier, Freud et Schreber, Khlebnikov, Hölderlin, Heidegger et les Romantiques allemands), elle a travaillé sur les questions de filiation, de deuil, de maladie dans l’écriture moderne (Hervé Guibert, Antonin Artaud, Maurice Blanchot, Hubert Aquin, Thomas Bernhard, Marguerite Duras). Ses recherches tentent de penser le discours littéraire et social sur la santé actuelle (Foucault), les idées de contamination, contagion et influence dans les écrits du sida et l’imaginaire de l’aveu, de la souffrance à nommer dans le récit contemporain. Actuellement, elle travaille sur l'inachèvement et le " non-finito" dans la modernité. Elle s’intéresse au processus créateur dans la théorie psychanalytique et dans le discours tenu par les écrivains.
MICHAUD, Ginette
Professeure émérite
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Littérature française (20e siècle)
- Déconstruction
- Littérature et philosophie
- Littérature et arts
- Période contemporaine (arts et lettres)
- France
- Canada (Québec)
Dès son doctorat consacré à l’œuvre de Roland Barthes, Ginette Michaud, spécialiste des littératures française et québécoise, a souhaité établir une collaboration fructueuse entre le Québec et la France en affirmant son lien, également fort, à ces deux littératures. Depuis vingt ans, ses efforts soutenus n’ont cessé de s’intensifier, se concrétisant en de très nombreuses retombées internationales tout particulièrement quant à ses recherches portant sur les œuvres de Jacques Derrida, Hélène Cixous, Jean-Luc Nancy et Sarah Kofman.
L’ensemble des publications de Ginette Michaud, constitue un accompagnement essentiel du travail d’envergure qu’elle a accepté de mettre en œuvre avec d’autres chercheurs, soit l’édition des Séminaires de Jacques Derrida. Depuis 2005, Ginette Michaud fait partie du comité international responsable de l’édition des cours et séminaires du philosophe. Elle a coédité les deux volumes du Séminaire La bête et le souverain (2001-2002 et 2002-2003) qui ont été traduits en plusieurs langues, et elle prépare actuellement l’édition du séminaire « Le parjure et le pardon » donné par le philosophe à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) de 1997 à 1999. Poursuivant la tâche capitale d’édition des textes inédits ou devenus inaccessibles du philosophe français, Ginette Michaud vient de coéditer en parallèle une collection de textes de Derrida sur les arts, Penser à ne pas voir (2013), et ses écrits sur l’architecture, Les arts de l’espace (2015). L’originalité de la démarche intellectuelle de Ginette Michaud réside dans l’interdisciplinarité qu’elle pratique en alliant la littérature, la philosophie et la psychanalyse ; dans son aptitude à exprimer sa pensée avec clarté et rigueur, ainsi qu’à se mettre à l’écoute des autres spécialistes et à ouvrir le dialogue avec eux. Ginette Michaud a grandement contribué au rayonnement au Québec et en Amérique du Nord des œuvres d’autres figures majeures de la pensée française contemporaine, telles celles d’Hélène Cixous, de Maurice Blanchot, de Jean-Luc Nancy et de l’historien de l’art Georges Didi-Huberman.
Ginette Michaud aurait pu se contenter de publier ses essais et ses éditions critiques : elle a plutôt choisi de collaborer à nombre de travaux collectifs, tant en littérature québécoise qu’en littérature française, dans des revues savantes comme Europe, Lignes et Études françaises, dont elle a été directrice de 1991 à 1994, de même que dans des magazines culturels (Spirale).
Enfin, le rayonnement de la lauréate se concrétise, entre autres, par sa participation en France à d’importantes manifestations internationales au Théâtre de l’Odéon, en 2010, ou à la Bibliothèque nationale de France en 2011 et en 2012. Il faut aussi rappeler sa nomination comme professeure invitée à l’Institut d’études féminines de l’Université Paris VIII en 2005. Toutefois, la réputation de Ginette Michaud ne se limite pas au Québec et à la France. Traduit en plusieurs langues (anglais, italien, espagnol, portugais, bulgare, japonais), son travail est reconnu comme celui d’une professeure et intellectuelle de réputation internationale. De plus, elle contribue à la formation de toute une génération d’étudiants, éveillés à l’intérêt de la pensée française et désireux de s’y consacrer à leur tour. En font foi le nombre et la qualité des jeunes chercheurs, souvent boursiers, qu’elle a dirigés aussi bien à la maîtrise qu’au doctorat.
NARDOUT-LAFARGE, Élisabeth
Professeure émérite
- Littérature québécoise
- 20e siècle
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Littérature française (20e siècle)
- 21e siècle
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Littérature française (21e siècle)
- Histoire de la littérature
- Poétique
Les travaux d'Élisabeth Nardout-Lafarge, s’efforcent de conjuguer poétique et approche historique, portent également sur des questions formelles : l’intertextualité - elle a coordonné un numéro d’Études françaises " Bibliothèques imaginaires du roman québécois " (1993) – et le nom propre – sur lequel elle a publié deux ouvrages, Les noms du roman (1994, en collaboration avec Johanne Bénard et Martine Léonard), Le texte et le nom (1996, en collaboration avec Martine Léonard) ainsi que des articles et chapitres de livres collectifs.
Elle participe actuellement à deux projets de recherche : d’une part la rédaction d’une histoire de la littérature québécoise (en collaboration avec Michel Biron de l’Université McGill et François Dumont de l’Université Laval), dans la continuité du travail effectué dans le champ de l’histoire littéraire (Le Portatif d’histoire littéraire, en collaboration avec Robert Melançon et Stéphane Vachon, 1998), et d’autre part " La construction de la modernité dans les discours critiques au Québec " (en collaboration avec Ginette Michaud).
NEPVEU, Pierre
Professeur émérite
- Poésie
- Essai
- Canada (Québec)
- Amérique du Nord
- Canada
- Analyse du discours littéraire
- Archive littéraire
- Histoire de la littérature
- Avant-gardes littéraires
- Littérature québécoise (19e siècle)
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Littérature québécoise
- Littérature québécoise (21e siècle)
- Littératures francophones
- Sociocritique
- Poésie québécoise
- Poésie québécoise (20e siècle)
- Poétique
- Période contemporaine (arts et lettres)
- 19e siècle
- 20e siècle
- 21e siècle
- 1900-1945
- 1945-1989
Poète, Pierre Nepveu a notamment publié Épisodes (1977), Mahler et autres matières (1983), Romans-fleuves (1997) et Lignes aériennes (2002). La rétrospective de son œuvre poétique a paru aux Éditions de l’Hexagone en 2006 sous le titre : Le sens du soleil. Poèmes 1969-2002. Il a aussi publié deux romans: L’Hiver de Mira Christophe (1986) et Des mondes peu habités (1992). Pierre Nepveu est l’auteur de nombreux articles et comptes rendus critiques consacrés à la poésie québécoise, notamment dans les magazines Lettres québécoises et Spirale, et il est aussi le co-auteur d’une anthologie, La poésie québécoise des origines à nos jours, en collaboration avec Laurent Mailhot, dont une nouvelle édition revue et mise à jour paraîtra à la mi-novembre de cette année.
Depuis 2001, il a entrepris avec Marie-Andrée Beaudet l’édition de l’œuvre éparse du poète Gaston Miron. Deux volumes, Poèmes épars et Un long chemin, Proses 1953-1994 ont paru jusqu’ici. En outre, il prépare actuellement une biographie du poète et de l’éditeur. Ses livres ont obtenu plusieurs prix littéraires, dont le Prix Victor-Barbeau de l’Académie des lettres du Québec et le prix Canada-Suisse. Son recueil Lignes aériennes a mérité en 2003 le Grand Prix du Festival international de poésie de Trois-Rivières ainsi que le Prix du Gouverneur général du Canada, un honneur qu’il avait aussi obtenu précédemment pour son recueil Romans-fleuves et pour son livre d’essais Intérieurs du Nouveau-Monde.
L’ensemble de son œuvre a enfin été couronnée en 2005 par le prix Athanase-David décerné par le gouvernement du Québec. Ses principales recherches actuelles, outre celles qui portent sur Gaston Miron, ont pour objet la littérature juive montréalaise et les littératures francophones des Amériques. Il est membre de l’Académie des lettres du Québec et de l’Union des écrivains québécois.
POPOVIC, Pierre
Professeur émérite
- Sociocritique
- Littérature française (19e siècle)
- Littérature française (21e siècle)
- Littérature québécoise
- Littérature québécoise (20e siècle)
- Littérature québécoise (21e siècle)
- 19e siècle
- 20e siècle
- 21e siècle
Pierre Popovic est professeur émérite à l’Université de Montréal, où il enseigne la sociocritique et les théories du discours et de l’imaginaire social. Il a publié de nombreux ouvrages et articles sur la poésie québécoise, la littérature française des XIXe et XXe siècles, la représentation littéraire de la ville et les fous littéraires.
SONG, Jingyun
Doctorante
- 20e siècle
- 21e siècle
- 2000 à nos jours
- 1945-1989
- Analyse du discours littéraire
- Canada
- Filiations intellectuelles
- France
- Littérature et psychanalyse
- Littérature québécoise
- Littératures francophones
- Roman
Titre de la thèse : La filiation et l'affiliation. L'écriture de la mémoire chez Ying Chen et François Weyergans
Directeur : Gilles Dupuis